Par asics et Kiko Kostadinov.
De nombreux détails originaux , une application en maille superposée recouvrant les rayures Asics. L’amorti Gel est là pour un confort au quotidien.
Depuis 2018 Kiko & Asics travaille main dans la main. Puisant dans les archives de Kobe , ils redessine de nouvelles silhouettes plus modernes.
Ce coloris Graphite Grey , Grand Shark nous as rappelé le projet 2501 , et notamment l’héroïne androïde Motoko Kusanagi issue du manga d’anticipation Ghost in the Shell. Un classique de Masamune Shirow.
C’est pour cela que l’on retrouve sur ce set , les cables de connexion.
La paire est dispo du 37 au 45.
Retail 120€
Salomon XT 6 Expand
À l’occasion du 75e anniversaire de Salomon, nous rendons hommage à l’emblématique Adventure 7, une chaussure légendaire née en 1992. Le choix de matières et de couleurs vintage illustre l’esprit nostalgique de cette collection de chaussures rétro destinée aux aventuriers d’aujourd’hui ; parce que malgré le temps qui passe, nous restons fidèles à notre philosophie.
Ici pas de Quick Lace, mais un laçage plus classique avec lacets Ronds,
On retrouve toutes les autres spécificités de ce modèle à savoir,
Système Sensifit & Endofit, pour un chaussant au plus prés,
Tige en Mesh & TPU résistant,
Semelle Extérieure Chevron Contagrip pour une meilleure Adhérence,
Control Pronation, Soft Ground , ACS Agile Chassis System Stabilité et Confort,
Après l’avoir essayé dans notre coin, on valide fort. Les tons sont automnales et se confondent bien dans la nature environnante. Ce qui permet d’être encore plus en harmonie avec elle.
Ici porté avec une tenue Gramicci et un gilet South 2 West 8 , une marque Japonaise spécialisé dans les tenues pêches proposant des matériaux et camouflages bien awesome !!!
Retail 170€
Carhartt WIP, nous propose cette saison un thème inspiré archives Militaires et traitement Teinture.
Pour le shooting on la joue Freestyle, comme le jeune Nekfeu dans ses freestyles du début.
La collection s’articule sur trois pièces sélectionnées par nos soins. Un short , Une Sur-Chemise ( Over Shirt) , et pant cargo. Sur une popeline de coton, un grammage léger 4,4 oz (125 gr) un procédé de teinture est appliqué. Dans trois couleurs, noir, bleu glacier et vert dollar.
Le résultat est très frais. Pour les inspirations militaires, on retouve de nombreuses poches, asymétriques et spacieuses, fermetures scratch. Mais aussi un zip double sur la sur-chemise. Le cargo est lui aussi pourvu de poches asymétriques, avec une taille élastiquée, le bas de jambe est resséré et élastiqué. Les genoux sont dotés d’une coupe anatomique, notamment avec des détails coutures.
Pour réaliser ce type de teinture, il y a différents procédés. Parmi les plus connus, on peut mentionner le stone wash. Technique consistant à laver avec des pierres ponces, très utilisée pour le denim. Ici pour la collection Berm il s’agit d’un procédé dit teint en pièce ( Garment Dyed). Plus précisément, il s’agit de teindre le vêtement une fois celui-ci confectionné. En général c’est l’inverse. On le remarque facilement en regardant les étiquettes interieures, qui sont teintées aussi.
Cette technique Garment Dyed, a pour particularité d’offrir un rendu doux au toucher et propose un rendu couleur assez pastel. Le processus, consiste à réaliser une fusion couleur à l’intérieur de grandes marmites à hautes températures pendant plus d’une demi journée, voire une journée complète suivant le coloris.
Ce qu’il y a de bien avec la teinture c’est que le résultat est toujours unique. Vous en avez déjà peut-être fait sans faire exprès. Laver un jean brut avec un tee shirt blanc, c’est déjà de la teinture, il n’y a qu’à voir après séchage le résultat hahaha.
Alors si vous êtes curieux lancez-vous !!
La Corniche d’or, sa situation privilégiée, son site exceptionnelle, entre mer et relief.
Voici le cadre de notre shooting du jour. Un spot invitant aux découvertes et balades aquatiques.
Le sac la pièce versatile pour ce type d’aventure, compact et fonctionnel le Kickflip de Carhartt, coche toutes les cases. Un litrage efficace 25 L, des sangles ajustables permettant de transporter facilement des palmes par exemple. Des poches latérales, pouvant accueillir une gourde ou autre. Le compartiment intérieur est assez spacieux, et la fermeture éclair rapide et permet une large ouverture.
Partie au petit matin, le sweat capuche Carhartt du Thème Verse est parfait. La coupe est confort, le coton assez léger,car délavé, grammage 12,3 Oz. L’imprimé réalisé aux laser sur le sweat, mais pas sur la capuche.
Le Short Wynton, est pratique grâce à ses poches cargo spacieuse, confort avec sa taille élastiquée avec ceinture clips . Costaud, car sa toile est tissé en Ripstop.
Au pied , une paire de Arizona en EVA injecté. Léger, confort avec un amorti appréciable. Se rince facilement après un usage en mer. Offrant un vrai maintien, ajustable via les sangles et anatomiques grâce à son lit de pied.
Pour le reste , à vous de composer avec vos besoins.
Perso, j’avoue le masque OMER est choisie pour son motif et son marron , j’apprécie le style fort bien que je pratique pas la chasse sous marine. Je suis aussi très satisfait de mon tuba Beuchat sans réservoir, c’est plus ghetto. Mes Palmes Mares sont souples , et confort .
Alors prêt pour l’aventure ? En tout cas si vous avez l’okaz, venez découvrir notre coin
Depuis la création de son concept orthopédique en 1774, Birkenstock a connu de nombreuses directions et s’est aujourd’hui muée en symbole d’un mode de vie authentique.
Au fil des années, l’entreprise a su innover techniquement et esthétiquement. Ce mélange fait entièrement partie de l’ADN de la marque.
Cette proposition n’a pas tardé à se retrouver aux pieds des stars et influenceurs, dans les quartiers et magasins branchés comme sur les podiums internationaux.
Made in Germany, du Bauhaus à la voute plantaire
L’école d’art allemande Bauhaus du début du 20ème siècle combinait les arts appliqués et les beaux arts. Un mélange d’esthétisme et de fonctionnalité capable de répondre aux évolutions techniques. Elle tient sa célébrité de son approche du design, qui a combiné le décoratif avec la fonction quotidienne.
« Birkenstock, c’est le produit Bauhaus par excellence : la forme s’adapte à la fonction » déclare Vincent Grégoire, directeur de création en agence de style.
Les deux univers sont proches géographiquement ainsi que dans la raison d’être.
Aujourd’hui, après avoir pérennisé son approche du bien être avec un chaussant anatomique, l’entreprise s’est également ouverte aux tendances de la mode. En proposant des sandales aux couleurs et motifs tendance ainsi que des lignes de design spéciales avec des partenaires rigoureusement sélectionnés.
Le modèle qui regroupe originalité et fonctionnalité et qui a su attirer les plus grands designers pour la retravailler est la Boston, modèle né en 1979 aux états-unis.
Voici quelques exemples qui illustreront clairement la vision que les créateurs réservent à cette silhouette :
Opening Ceremony
Le détaillant américain s’est associé au fabricant allemand en 2021 pour faire un clin d’œil à l’artiste surréaliste René Magritte.
La collaboration comprend une capsule sur le sabot Boston en deux pièces.
La communication elle même fait référence à l’oeuvre du peintre belge. Il avait pour habitude de représenter des objets du quotidien dans des contextes inhabituels.
Stussy
La même année, c’est à la fin de l’été que la marque californienne travaille pour la deuxième fois sur la Boston. Les designers de Stüssy utilisent des coloris frais et apposent leur logo emblématique sur le coté de la paire.
Dior
C’est pour l’Hiver 2022 que Kim Jones, directeur artistique de Dior et son équipe ont retravaillé en surface les détails de la Boston à l’occasion de la fashion-week de Paris.
Ils y ajoutent notamment des éléments fonctionnels comme les fermetures roller coaster et un strap arrière. Des détails esthétiques avec une modification des matières et l’inclusion d’appliques florales.
Rick Owens
Le designer d’avant garde signe sa collaboration avec des modèles exclusivement noirs, caractéristiques de son esthétique sombre.
La Boston a reçu plusieurs traitements. Son cuir devient alors iridescent, vernis, avec une sangle allongée, trouée sur toute sa longueur. Une version ludique et expérimentale qui ne trahie pas ses qualités premières, le confort.
Jil Sander
Jil prend le contrepied des collaborations que l’on a vu précédemment en donnant un aspect luxueux à un modèle méconnu, la Berlin. Une mule alternative à la Boston mais pas moins séduisante.
Son travail se fait avec une tige en daim moelleux et en cuir de qualité supérieure. Monté sur une semelle extérieure noire, légèrement débordante. Des modifications subtiles qui viennent diversifier la liste de collaborations que Birkenstock proposent.
Retrouvez les Boston ainsi que le reste de la sélection Birkenstock sur notre site internet.
La marque transmet depuis des siècles le savoir faire et la volonté de fabriquer des chaussures de grande qualité, fonctionnelles et confortables pour celles et ceux qui la porte.
Cette histoire est celle d’une recette qui traverse les âges et les générations.
1774
Cela commence avec une date clé. Johann Adam Birkenstock est alors cordonnier à l’église de Langen-Bergheim en Allemagne. Un savoir d’artisanat qu’il léguera aux générations futures pour arriver en 1896, année où le maître cordonnier Konrad Birkenstock se lance dans la fabrication et la vente d’assises plantaires flexibles.
Il réalise ainsi sa première semelle anatomique souple pour soulager les maux du pied en soutenant la cambrure et en entourant le talon. Il innove dans une époque qui ne connaît que des semelles rigides en métal. Le latex et le liège lui assurent une souplesse inédite.
40 ans plus tard, son fils veut transmettre la recette familiale perfectionnée. Il lance les cours de formation Birkenstock et le « Système de Karl Birkenstock » est approuvé par la communauté médicale et les podiatres
Le défi de la pérennité
Les descendants de Konrad Birkenstock sont épris d’une mission, protéger et entretenir le potentiel immense de cet héritage familial. Leur sagesse a alors été de s’engager dans ce projet en comprenant qu’ils ne pourraient techniquement pas faire beaucoup mieux que leur aïeul et que leur mission était autre part.
L’authenticité et le confort sont désormais les deux leviers d’une future séduction planétaire.
En 1964, Karl Birkenstock lance l’actuel icône Madrid, la première sandale de conditionnement physique à assise plantaire profonde et souple.
C’est deux ans plus tard que Birkenstock se lance aux USA.
En effet, Margot Fraser est une couturière germano-américaine qui découvre les sandales Birkenstock lors d’un voyage en Allemagne en 66 dans le but de soigner une maladie de pieds causée par des chaussures trop serrées. Elle a un coup de coeur immédiat pour les chaussures qui la guérisse et décide de se lier avec Karl pour commencer à distribuer l’entreprise depuis son domicile en Californie.
Les 70’s ont entraîné une explosion des ventes. Aux États-Unis, les Birkenstock ont d’abord été adoptées par les jeunes hommes pour devenir populaire auprès des hippies et autres groupes qui avaient une philosophie de « retour à la nature » et appréciaient la forme naturelle et le confort adapté aux pieds.
Des noms de lieux américains seront alors attribués aux sandales comme la plus populaire de Birkenstock, l’Arizona,
ainsi que la très actuelle Boston.
Birkenstock et les enjeux modernes
Le produit a séduit la majorité de l’occident et se situe toujours dans une quête de longévité, la marque allemande va devoir apprendre à évoluer avec son temps.
Au début des années 90, la marque comprend l’évolution des attentes de leur clientèle.
Elle réagit rapidement et implante dans sa production des adhésifs respectueux de l’environnement. Ils deviennent les instigateurs d’une nouvelle norme mondiale en matière de sensibilisation à l’environnement.
C’est aussi à ce moment que la production est augmentée et modernisée afin de réduire la consommation d’énergie de plus de 90%.
L’Asie aussi est séduite par le cachet et la qualité Allemande. Comme les japonais, pour qui les valeurs artisanales que porte Birkenstock font écho à une tradition propre et ancestrale de production.
Cela se couple à la recherche globale des consommateurs, ils veulent désormais acheter moins, mais mieux.
Derrière la paire de chaussure
En 2009, c’est dans la petite ville allemande de Görlitz, que le liège portugais, le latex et la toile de jute sont moulées, cuites, séchées, découpées, puis imperméabilisées.
Il faut ensuite assembler les différents éléments, la semelle de liège, recouverte d’un cuir souple qui accueillera le pied, une couche de latex amortissante à l’extérieur et finalement le morceau de cuir de différentes formes qui maintien le pieds en s’adaptant à toutes ses formes grâce à son système de sangle.
Ces composants garantissent les qualités de leurs modèles, en cuir ou en EVA, avec autant de possibilités de matières et de couleurs, ajoutant même sur certains modèles un « Soft footbed », fine couche de mousse supplémentaire qui rend le chaussant immédiatement agréable.
Birkenstock relève le défi de vous accompagner à l’extérieur ou chez vous, dans le respect de votre confort et de votre style.
Birkenstock, plus qu’un confort, un mode de vie
Depuis, Birkenstock se retrouve sur tous les horizons, dans les quartiers et magasins branchés comme sur les podiums internationaux.
Désormais, Birkenstock a l’ambition d’offrir des solutions de bien-être pour toutes les postures de l’homme : debout, en marche, couché et assis.
Pour ce faire, de vrais partenariats sont créés. De la literie de luxe avec l’autrichien ADA, en passant par les cosmétiques jusqu’au mobilier de bureau.
Avec cette envie de diversification, Birkenstock affirme que son succès est bien le fruit d’un marathon qui ne se transformera pas en un sprint risqué…
Notre silhouette arpente les roches rouges de l’Estérel, couverte du classique Michigan Coat et d’un short Newel, tous deux issu de la nouvelle collection Carhartt, réalisés dans une toile de coton épaisse.
Ces deux pièces sont sur-teintes, ce qui leur donne une patine avec des dégradés. L’iconique veste des 90’s aux multiples poches reflète du violet sur son coloris bleu glacé. Le short, lui, est dans un marron cola délavé.
Salomon est toujours de la partie quand il s’agit de grimper. De retour avec la X-Mission 4, un modèle aux coloris frais, qui reste outdoor avec un bloc semelle tendre et une tige souple et respirante.
Un look hybride, inspiration Militaire & Sportswear, comme une synthèse du rap des années 90, un espace temps dans lequel Arsenik serait en feat avec Mobb Deep.
Hugo porte un Polo Lacoste , en piqué Ultra-Dry avec un montage dit Kimono, le Carhartt Wip Cole Cargo Pant Thyme Stone Washed , sa coupe Balloon, ses inspirations military, avec ses grandes poches, dans une toile légère.
Au pied une paire technique Asics Kinsei Blast dans un coloris blanc, menthe poivrée, un amorti Gel visible & FF Blast. Le colorway complète très bien l’ensemble. Pour les access, une cap classique all white de chez Lacoste, une sacoche Carhartt en vert et pour protéger les yeux une paire de sunglasses issue de la collaboration entre Sun Buddies & Polar.
Cet ensemble fonctionne parfaitement en demi-saison, retrouvez à la suite notre shooting, avec une photo bonus, où vous pourrez apprécier le PAWA secret d’hugo.
Asics propose un modèle retro-running dont ils ont le secret.
Confort par son amorti Gel Encapsulé, Léger par son nylon mesh, dynamique par ses accents rouge et noir.
Ce modèle est très versatile, inclusif et mixte. Retail 90 Euros. Dispo ici & en boutique.
Deux entités créatives se sont prêtées aux jeux du shooting en situation, une Japonaise et très inspirante pour nous, on parle de SABUKARU et l’autre de New York On Lunch Break . On vous laisse apprécier le shooting, ainsi qu’une vidéo.
L’histoire commence dans la Californie des années 70, quand un grimpeur de 18 ans du nom de Mike Graham arrive à Yosemite pour rejoindre un groupe d’amis qui avaient commencé à grimper les emplacements du parc national. De spots en spots, ils se font un nom dans la discipline et sont appelés les Stonemasters.
Ce groupe, entre autres, suscite l’engouement pour les sports d’action et d’aventure que nous connaissons aujourd’hui. En tant que pionniers du sport, ces maitres de la grimpe développent leur propre style d’escalade, celle des « big wall ». Ils sont parmi les premiers à parfaire le free-soloing, l’art d’escalader des parois rocheuses sans cordes ni harnais, et de faire de l’escalade cool, établissant des records et des échelles avec style.
L’alpinisme avait longtemps été en quête de style militaire et de fourrure animale, en ça, les Stoneheads avaient du style et poussaient les limites des ascensions rocheuses occasionnelles aux délires psychédéliques des 70’s. La culture de l’escalade libre était née.
Après avoir développé son style, Mike Graham commence à fabriquer des tentes de paroi dans les garages de ses amis et à les vendre dans la communauté de l’escalade. Un type de tente portative qui peut être fixé à un mur de falaise, qu’il appelle Cliff Dwellings, Les bivouacs innovants de Graham sont conçus pour une utilisation de nuit lors de l’ascension des montagnes. Ils sont aussi compacts que possible pour qu’on puisse les transporter une fois épuisé.
Gramicci est né et la marque porte le surnom donné à Graham par les Stonemasters. Le surnom a été adopté par Graham lors de l’implication du groupe dans la première ascension entièrement italienne du célèbre Half-Dome à Yosemite. Comme aucun des membres n’était en fait italien, ils ont composé des noms italiens et Graham a donc changé en Gramicci.
Nous voici dans les années 80 et Graham est incapable de trouver des shorts adaptés spécifiquement à l’escalade des rochers, alors il conçoit et fabrique les siens. Le short propose des innovations telles qu’un entrejambe à soufflets et une ceinture intégrée, il changera le marché des vêtements de plein air pour toujours. Ses créations sont fabriquées à partir de tissu non teint, offrant une toile vierge pour inviter la créativité et l’individualité des communautés d’escalade et de surf. Graham donne le short à ses amis et lance sa propre entreprise de vêtements.
Gramicci lance le G Pant en 1988, qui se transmet rapidement dans la tradition pour devenir un incontournable dans la communauté d’escalade. Utilisant le design unique de Graham, avec une entrejambe à soufflets et une ceinture en nylon facile à attacher/ détacher, le pantalon fournit des poches avant profondes pour garder les petits articles en place et des poches arrière à fermeture velcro pour la boussole et le couteau. Fabriqué à partir de tissu en sergé de coton biologique pour un confort résistant aux chocs et aux éraflures et une grande facilité de mouvement, le pantalon est tout simplement conçu pour offrir tout ce dont les grimpeurs modernes ont besoin.
Deux ans plus tard, Gramicci s’ouvre à des produits performants sur les quatre saisons qui intègrent confort, fonctionnalité et la technologie requise par les passionnés de plein air. C’est à ce moment là que sa portée s’étend à la randonnée, le vélo et le trekking. Alors que le style des contre-cultures qui se formaient au cours des années 70 et 80, y compris les scènes de graffiti, skate, surf et hip hop commence à se joindre, la raison de vivre, l’attitude et les produits élégants et fonctionnels de Gramicci font de la marque une marque inscrite dans l’ADN du streetwear en changeant par la meme occasion la façon dont les gens considéraient les équipements de plein air, qui jusque-là étaient en grande partie uniquement fonctionnels et utilitaires.
Gramicci nomme un nouveau président, Marty Weening, qui aide la marque à se dépoussiérer, à se recentrer sur ses racines et à exploiter l’esprit de liberté et d’innovation qui l’a rendu si populaire au départ. La marque revigorée 5 ans plus tard est infiniment plus forte qu’elle ne l’était au début de la décennie.
Le catalogue Gramicci 2007 est lancé et comprend une collaboration avec l’illustrateur Nicholas Kulakoff, il correspond à la raison de vivre de Gramicci. Inspiré par la nature, son approche fantaisiste et énergique du design incorpore une large palette de couleurs dans les dessins à l’encre, les illustrations de style art-clip et l’ornementation de style psychédélique. Si les Stonemasters étaient de l’art, ce serait celui là.
Un an plus tard, Gramicci lance une gamme de vêtements conçu pour le cyclisme, la Urban Biking Line, conçue spécialement pour les cyclistes urbains. La gamme combine les styles casual et technique, signature de Gramicci avec des tissus innovants tels que l’Epic QD de la marque, qui est un tissage en nylon respirant et à séchage rapide avec une sensation de coton et une protection UV intégrée.
Alors que la marque fête ses 30 ans, Gramicci lance sa ligne G Movement qui introduit les tissus NPT. Un mélange des fibres naturelles les plus durables et les plus biologiques disponibles, combiné à l’état d’esprit libre de Gramicci. Cela offre un choix décontracté pour tous les environnements. G Movement offre un style distinct aux amateurs de sport de haute performance en plein air et aux promeneurs urbains.
En se développant, Gramicci se fait découvrir par un autre public, les japonais. Amateurs de coupes originales et de l’usage des matériaux de la communauté streetwear du pays. La ligne Gramicci Japan qui suivra dans les années à venir est la combinaison parfaite d’un design innovant avec un style streetwear contemporain.
En 2015, l’essors sur le marché japonais mène au lancement d’une collection de chaussures dans le pays. Conçu pour combiner le style urbain avec des caractéristiques techniques extérieures, la gamme convient à une utilisation dans un large éventail d’environnements et est vendu chez les détaillants outdoor ainsi que dans les boutiques streetwear.
Après s’être rassemblé une première fois en 2012, c’est en 2016 que Gramicci poursuit sa collaboration avec la marque japonaise de streetwear nonnative. Ils sortent une édition spéciale du pantalon grimpeur de Gramicci et renforcent la relation entre les deux marques qui ont continué à sortir de collections capsule.
Ils continuent à collaborer avec d’autres marques et s’associent ensuite à mastermind JAPAN pour sortir un pantalon d’escalade avec le crâne signature de la marque de streetwear haut de gamme.
2018
Gramicci Japan lance une nouvelle collection de vêtements décontractés aux matériaux et détails techniques, reprenant certains des styles les plus emblématiques de la marque en les retravaillant.
L’année dernière, ils collaboraient avec Stüssy, des voisins de longue date sur la scène du skate et du streetwear, avec une édition spéciale du pantalon cargo Gramicci en coloris Camo et Clay qui se détache des jambes pour transformer le pantalon en short.
Aujourd’hui la marque cultive ses racines libres de la fin des années 70 à l’ère moderne. Gramicci a toujours offert quelque chose d’un peu différent des nombreuses autres marques. Son esprit de pionnier et son sens de l’aventure sont évidents dans chaque produit, qu’il soient porté pour grimper les sommets de Yosemite ou naviguer dans le paysage urbain actuel.
Le surnom d’origine italienne part de Californie pour se développer au Japon et pour arriver dans le Var. Ils permettent, après les big walls du Yosemite de s’essayer sur les roches rouges environnantes.
L’assortiment Gramicci Japan a fait ses preuves et propose désormais des vestes de pluie, des polaires chaudes et des vestes de travail. L’interprétation moderne du légendaire pantalon d’escalade Gramicci se prolonge avec une approche de l’élégance avec du velours côtelé de pantalons techniques en nylon, On peut facilement retracer jusqu’au premier modèle révolutionnaire de la marque qui a changé pour toujours la scène des vêtements de plein air.
L’introduction de nylon technique et de lin aéré aux côtés de leur sergé de coton traditionnel et résistant à l’usure a étendu l’emprise de Gramicci encore plus loin. Plus qu’un simple vêtement, la marque est particulièrement apprécié au Japon, là où les acheteurs de mode aiment une bonne histoire, ainsi Gramicci a tout à dire.